Titre : | Les déferlantes | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Claudie Gallay (1961-....), Auteur | Editeur : | Rodez : Ed. du Rouergue | Année de publication : | 2008 | Collection : | La brune | Importance : | 1 vol. (524 p.) | Présentation : | couv. ill. en coul. | Format : | 21 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-84156-934-2 | Prix : | 21,50 € | Langues : | Français (fre) | Résumé : | La Hague... Ici on dit que le vent est parfois tellement fort qu'il arrache les ailes de papillons. Sur ce bout du monde en pointe du Cotentin vit une poignée d'hommes. C'est sur cette terre âpre que la narratrice est venue se réfugier depuis l'automne. Employée par le Centre Ornithologique, elle arpente les landes, observe les falaises et leurs oiseaux migrateurs. La première fois qu'elle voit Lambert, c'est un jour de tempête. Sur la plage dévastée, la vielle Nan, que tout le monde craint et dit à moitié folle , croit reconnaître en lui la visage d'un certain Michel. D'autres, au village, ont pour lui des regards étrages. comme Lili, au comptoir de son bar, ou son père, l'ancien gardien de phare. Une phote disparaît, de vieux jouets réapparaissent. L'histoire de Lambert intrigue la narratrice et l'homme l'attire. En veut-il à la mer ou ien aux hommes ? Dans les lamentations obsédantes du vent, chacun semble avois quelque chose à taire. |
Les déferlantes [texte imprimé] / Claudie Gallay (1961-....), Auteur . - Ed. du Rouergue, 2008 . - 1 vol. (524 p.) : couv. ill. en coul. ; 21 cm. - ( La brune) . ISBN : 978-2-84156-934-2 : 21,50 € Langues : Français ( fre) Résumé : | La Hague... Ici on dit que le vent est parfois tellement fort qu'il arrache les ailes de papillons. Sur ce bout du monde en pointe du Cotentin vit une poignée d'hommes. C'est sur cette terre âpre que la narratrice est venue se réfugier depuis l'automne. Employée par le Centre Ornithologique, elle arpente les landes, observe les falaises et leurs oiseaux migrateurs. La première fois qu'elle voit Lambert, c'est un jour de tempête. Sur la plage dévastée, la vielle Nan, que tout le monde craint et dit à moitié folle , croit reconnaître en lui la visage d'un certain Michel. D'autres, au village, ont pour lui des regards étrages. comme Lili, au comptoir de son bar, ou son père, l'ancien gardien de phare. Une phote disparaît, de vieux jouets réapparaissent. L'histoire de Lambert intrigue la narratrice et l'homme l'attire. En veut-il à la mer ou ien aux hommes ? Dans les lamentations obsédantes du vent, chacun semble avois quelque chose à taire. |
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