Titre : | Calligraphie des rêves | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Juan Marsé (1933-....), Auteur ; Jean-Marie Saint-Lu, Traducteur | Editeur : | Paris : C. Bourgeois | Année de publication : | 2012 | Importance : | 1 vol. (411 p.) | Présentation : | couv. ill. en coul. | Format : | 20 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-267-02281-0 | Prix : | 20 EUR | Langues : | Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa) | Index. décimale : | 863 | Résumé : | A ceux qui s'étonnaient qu'il ne se soit jamais servi des circonstances, fort romanesques, de sa naissance et de son adoption, Juan Marsé avait jusqu'ici l'habitude de répondre que ses mémoires se trouvent dans ses romans et ses nouvelles. " Je comprends que ce soit un thème très littéraire (ou qu'il puisse le paraître à certains) mais je ne l'ai jamais abordé comme tel, bien que mes romans soient pleins de gamins qui s'inventent leurs père, ou qui décident d'être fils d'eux-mêmes ", a-t-il même écrit un jour. Or, c'est une explication que Marsé ne pourra plus avancer : il raconte en effet dans le roman qui nous occupe, et de façon très précise, cet épisode fondateur de sa vie et probablement de son uvre : sa mère meurt dix jours après sa naissance, laissant son père, chauffeur de taxi, seul avec sa sur aînée. Le pauvre veuf ne s'en sort pas et songe à confier le nouveau-né à une autre famille. Et voilà que le hasard s'en mêle : un soir, comme il passe devant une maternité de Barcelone, il est hélé par un couple dont la femme est en pleurs : elle vient de perdre l'enfant qu'elle attendait. |
Calligraphie des rêves [texte imprimé] / Juan Marsé (1933-....), Auteur ; Jean-Marie Saint-Lu, Traducteur . - Paris : C. Bourgeois, 2012 . - 1 vol. (411 p.) : couv. ill. en coul. ; 20 cm. ISBN : 978-2-267-02281-0 : 20 EUR Langues : Français ( fre) Langues originales : Espagnol ( spa) Index. décimale : | 863 | Résumé : | A ceux qui s'étonnaient qu'il ne se soit jamais servi des circonstances, fort romanesques, de sa naissance et de son adoption, Juan Marsé avait jusqu'ici l'habitude de répondre que ses mémoires se trouvent dans ses romans et ses nouvelles. " Je comprends que ce soit un thème très littéraire (ou qu'il puisse le paraître à certains) mais je ne l'ai jamais abordé comme tel, bien que mes romans soient pleins de gamins qui s'inventent leurs père, ou qui décident d'être fils d'eux-mêmes ", a-t-il même écrit un jour. Or, c'est une explication que Marsé ne pourra plus avancer : il raconte en effet dans le roman qui nous occupe, et de façon très précise, cet épisode fondateur de sa vie et probablement de son uvre : sa mère meurt dix jours après sa naissance, laissant son père, chauffeur de taxi, seul avec sa sur aînée. Le pauvre veuf ne s'en sort pas et songe à confier le nouveau-né à une autre famille. Et voilà que le hasard s'en mêle : un soir, comme il passe devant une maternité de Barcelone, il est hélé par un couple dont la femme est en pleurs : elle vient de perdre l'enfant qu'elle attendait. |
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