Titre : | J'aurais dû épouser Marcel | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Françoise Xenakis (1930-2018), Auteur | Editeur : | Carrières-sur-Seine (Yvelines) : A vue d'oeil | Année de publication : | 2010 | Importance : | 278 p. | Présentation : | couv. ill. en coul. | Format : | 22 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-84666-539-1 | Prix : | 17 EUR | Langues : | Français (fre) | Index. décimale : | 843 Fiction | Résumé : | Françoise Xenakis est née en 1930 en Sologne, la sombre Sologne des étangs, des brouillards et des jeteuses de sorts. Le temps venu, elle est allée fouiller dans ses éclats de souvenirs et raconte ces étranges femmes que l'on appelait dans son village les "veuves blanches ". C'étaient, pour la plupart, d'anciennes gamines de l'Assistance publique, débarquées un beau jour d'un car bringuebalant et placées dans les fermes. Les gars, eux, devenaient charretiers, les filles vachères, et, aussi perdus les uns que les autres, ils se mettaient le plus souvent à la colle". En 1914, les garçons furent mobilisés et il n'en revint pratiquement pas. On ne les déclara même pas morts au champ d'honneur, mais disparus. Que faire de ces jeunes femmes seules au village? On les logea dans un minuscule lotissement bâti pour l'occasion et la République leur octroya une modeste pension. |
J'aurais dû épouser Marcel [texte imprimé] / Françoise Xenakis (1930-2018), Auteur . - Carrières-sur-Seine (Yvelines) : A vue d'oeil, 2010 . - 278 p. : couv. ill. en coul. ; 22 cm. ISBN : 978-2-84666-539-1 : 17 EUR Langues : Français ( fre) Index. décimale : | 843 Fiction | Résumé : | Françoise Xenakis est née en 1930 en Sologne, la sombre Sologne des étangs, des brouillards et des jeteuses de sorts. Le temps venu, elle est allée fouiller dans ses éclats de souvenirs et raconte ces étranges femmes que l'on appelait dans son village les "veuves blanches ". C'étaient, pour la plupart, d'anciennes gamines de l'Assistance publique, débarquées un beau jour d'un car bringuebalant et placées dans les fermes. Les gars, eux, devenaient charretiers, les filles vachères, et, aussi perdus les uns que les autres, ils se mettaient le plus souvent à la colle". En 1914, les garçons furent mobilisés et il n'en revint pratiquement pas. On ne les déclara même pas morts au champ d'honneur, mais disparus. Que faire de ces jeunes femmes seules au village? On les logea dans un minuscule lotissement bâti pour l'occasion et la République leur octroya une modeste pension. |
|  |