Titre : | Madame Bovary | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Gustave Flaubert (1821-1880), Auteur ; Henri de Montherlant, Préfacier, etc. ; Jacques Neefs, Editeur scientifique | Editeur : | Paris : Librairie générale française | Année de publication : | 1999 | Collection : | Classiques de poche num. 713 | Importance : | 564 p.-X p. de pl. | Présentation : | ill., couv. ill. en coul. | Format : | 18 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-253-00486-8 | Prix : | 26 F | Langues : | Français (fre) | Index. décimale : | 843 Fiction | Résumé : | Emma Rouault, fille d'un riche fermier, a été élevée dans un couvent. Elle rêve d'une vie mondaine comme les princesses des romans à l'eau de rose dans lesquels elle se réfugie pour rompre l'ennui. Elle devient l'épouse de Charles Bovary, qui malgré de laborieuses études de médecine, n'est qu'un simple officier de santé. Emma est déçue de cette vie monotone.
L`invitation au bal du marquis d'Andervilliers, (chap. le Bal de la Vaubeyssard), que Flaubert décrit comme étant le manoir du Héron[5], lui redonne la joie de vivre. Ce château du marquis de Pomereu d'Aligre, connaissance du père de Flaubert, aurait été visité par Gustave Flaubert adolescent. Les souvenir embellis des fastes d'un premier bal dans le milieu de l'aristocratie servirent à merveille l'imagination de l'écrivain, et la trouvaille du nom de la localité de la demeure des Bovary : Croisy-sur-Andelle qui deviendra Yonville-L'abbaye. Lorsque Emma attend un enfant, son mari décide de quitter la ville de Tostes et de s'installer à Yonville. Emma fait la connaissance des personnalités locales : le pharmacien progressiste et athée Homais ; le curé Bournisien ; Léon Dupuis, clerc du notaire Guillaumin ; le libertin Rodolphe Boulanger, propriétaire du château de la Huchette.
Emma est déçue par la naissance de la petite Berthe, puisqu’elle aurait préféré mettre au monde un garçon. Elle s'enlise dans l'ennui, et perd tout espoir d'une vie meilleure. Elle n'éprouve plus aucun amour pour Charles, qui pourtant ne lui veut que du bien. Elle ne parvient pas non plus à apprécier sa fille, qu'elle trouve laide et qu'elle confie à madame Rollet. Elle laisse libre cours à ses dépenses luxueuses chez son marchand d'étoffes, M. Lheureux. Elle repousse les avances de Rodolphe, et de Léon, puis elle finit par céder. Ses amants sont vite lassés du sentimentalisme exacerbé de la jeune femme qui rêve de voyages et de vie trépidante.
Emma a accumulé une dette envers M. Lheureux, qui exige d'être remboursé. Les amants d'Emma ont refusé de lui prêter de l'argent. Emma se suicide par désespoir. Charles meurt de chagrin. À la mort de ses parents, Berthe est confiée à une tante, pauvre, et qui l'envoie travailler dans une filature de coton pour subsister financièrement. Monsieur Homais vient de recevoir la croix d'honneur[6]. |
Madame Bovary [texte imprimé] / Gustave Flaubert (1821-1880), Auteur ; Henri de Montherlant, Préfacier, etc. ; Jacques Neefs, Editeur scientifique . - Librairie générale française, 1999 . - 564 p.-X p. de pl. : ill., couv. ill. en coul. ; 18 cm. - ( Classiques de poche; 713) . ISBN : 978-2-253-00486-8 : 26 F Langues : Français ( fre) Index. décimale : | 843 Fiction | Résumé : | Emma Rouault, fille d'un riche fermier, a été élevée dans un couvent. Elle rêve d'une vie mondaine comme les princesses des romans à l'eau de rose dans lesquels elle se réfugie pour rompre l'ennui. Elle devient l'épouse de Charles Bovary, qui malgré de laborieuses études de médecine, n'est qu'un simple officier de santé. Emma est déçue de cette vie monotone.
L`invitation au bal du marquis d'Andervilliers, (chap. le Bal de la Vaubeyssard), que Flaubert décrit comme étant le manoir du Héron[5], lui redonne la joie de vivre. Ce château du marquis de Pomereu d'Aligre, connaissance du père de Flaubert, aurait été visité par Gustave Flaubert adolescent. Les souvenir embellis des fastes d'un premier bal dans le milieu de l'aristocratie servirent à merveille l'imagination de l'écrivain, et la trouvaille du nom de la localité de la demeure des Bovary : Croisy-sur-Andelle qui deviendra Yonville-L'abbaye. Lorsque Emma attend un enfant, son mari décide de quitter la ville de Tostes et de s'installer à Yonville. Emma fait la connaissance des personnalités locales : le pharmacien progressiste et athée Homais ; le curé Bournisien ; Léon Dupuis, clerc du notaire Guillaumin ; le libertin Rodolphe Boulanger, propriétaire du château de la Huchette.
Emma est déçue par la naissance de la petite Berthe, puisqu’elle aurait préféré mettre au monde un garçon. Elle s'enlise dans l'ennui, et perd tout espoir d'une vie meilleure. Elle n'éprouve plus aucun amour pour Charles, qui pourtant ne lui veut que du bien. Elle ne parvient pas non plus à apprécier sa fille, qu'elle trouve laide et qu'elle confie à madame Rollet. Elle laisse libre cours à ses dépenses luxueuses chez son marchand d'étoffes, M. Lheureux. Elle repousse les avances de Rodolphe, et de Léon, puis elle finit par céder. Ses amants sont vite lassés du sentimentalisme exacerbé de la jeune femme qui rêve de voyages et de vie trépidante.
Emma a accumulé une dette envers M. Lheureux, qui exige d'être remboursé. Les amants d'Emma ont refusé de lui prêter de l'argent. Emma se suicide par désespoir. Charles meurt de chagrin. À la mort de ses parents, Berthe est confiée à une tante, pauvre, et qui l'envoie travailler dans une filature de coton pour subsister financièrement. Monsieur Homais vient de recevoir la croix d'honneur[6]. |
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