Titre : | Que ça reste entre nous | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Francis Veber (1937-....), Auteur | Editeur : | Paris : R. Laffont | Année de publication : | 2010 | Importance : | 1 vol. (322 p.-[16] p. de pl.) | Présentation : | ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. | Format : | 24 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-221-11444-5 | Prix : | 21 EUR | Note générale : | Filmogr. et oeuvres théâtrales de F. Veber, 3 p. | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | Veber Biographies | Index. décimale : | 791.430 | Résumé : | < Je suis né à Neuilly, d'un père juif et d'une mère arménienne. Deux génocides, deux murs des Lamentations dans le sang, tout pour faire un comique. >áDès la première phrase de ces Mémoires, le ton est lancé : l'humour toujours, tendre ou vachard, mais derrière l'extrême pudeur, un homme < qui porte lourd >ácomme le décrivit un jour son ami Depardieu, même s'il a l'élégance de le dire légèrement. Héritier d'une lignée d'écrivains (dont le plus fameux était Tristan Bernard, son grand-oncle), Francis Veber aurait dû déroger à la règle : son père, homme de lettres brisé par la guerre (qu'il vécut terré chez lui, en pyjama), ne voulait surtout pas que son fils exerce un métier de plume. Sa mère, contrainte à commettre à longueur d'années des romans à l'eau de rose pour nourrir les siens, n'y tenait pas non plus. |
Que ça reste entre nous [texte imprimé] / Francis Veber (1937-....), Auteur . - Paris : R. Laffont, 2010 . - 1 vol. (322 p.-[16] p. de pl.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 24 cm. ISBN : 978-2-221-11444-5 : 21 EUR Filmogr. et oeuvres théâtrales de F. Veber, 3 p. Langues : Français ( fre) Mots-clés : | Veber Biographies | Index. décimale : | 791.430 | Résumé : | < Je suis né à Neuilly, d'un père juif et d'une mère arménienne. Deux génocides, deux murs des Lamentations dans le sang, tout pour faire un comique. >áDès la première phrase de ces Mémoires, le ton est lancé : l'humour toujours, tendre ou vachard, mais derrière l'extrême pudeur, un homme < qui porte lourd >ácomme le décrivit un jour son ami Depardieu, même s'il a l'élégance de le dire légèrement. Héritier d'une lignée d'écrivains (dont le plus fameux était Tristan Bernard, son grand-oncle), Francis Veber aurait dû déroger à la règle : son père, homme de lettres brisé par la guerre (qu'il vécut terré chez lui, en pyjama), ne voulait surtout pas que son fils exerce un métier de plume. Sa mère, contrainte à commettre à longueur d'années des romans à l'eau de rose pour nourrir les siens, n'y tenait pas non plus. |
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